Par Michel AYMERICH
70 ans après la naissance de l’État
hébreu, la propagande antisioniste bat son plein sous la forme de
l’adoption du narratif appelé aujourd’hui «palestinien».
D’inspiration islamique, d’origine principalement
arabo-musulmane, adopté par tous les pays islamisés (les arabisés,
tout comme également les Turcs, les Pakistanais, les Iraniens
chiites, etc. ), il est relayé en France directement ou
indirectement, franchement ou hypocritement.
L’État français est partie
prenante. Il contribue hypocritement à relayer des parties
substantielles de ce narratif...
Un État français qui n’est autre
essentiellement que l’organe défendant les intérêts de la très
grande bourgeoisie à l’intérieur et à l’extérieur des
frontières. Un État qui par le moyen de la diplomatie représentée
par le Quai d’Orsay - une institution de défense des intérêts à
l’étranger de la fraction la plus influente de cette même classe
- assure un climat politique favorable aux grands groupes qui
concluent des contrats juteux avec des pays de l’Organisation de la
coopération islamique (OCI).
Un État français géré par des
professionnels de la politique membres de partis de gouvernement de
droite ou dits de « gauche ».
A la droite ou à la « gauche » de
ces partis, des forces qui s’opposent peu ou prou à leur politique
sur différentes questions. De gestion, pour l’essentiel.
Sur le plan des questions
internationale, il en est une qui rassemble en une union sacrée
différents partis et groupes politiques. C'est celle de l'adhésion
à de grandes parties du narratif islamique. Celui que je retiens ici
se rapporte au discours idéologique palestiniste, adopté et relayé
sous sa forme directe ou indirecte, franche ou hypocrite.
Parmi les forces de « gauche » qui
adoptent et relayent, et je ne m’en tiendrais qu’à cet exemple,
de prétendus communistes. En fait très prosaïquement, des membres
du PCF qui n’ont de communiste que l’étiquette. Comme l’habit
ne fait pas le moine, l’étiquette en politique ne définit pas
nécessairement ce qu’elle nomme. Sauf pour les cyniques et les
crétins.
Ainsi à Bezons, Dominique Lesparre,
maire étiqueté «communiste», a inauguré une plaque commémorative
d’un narratif palestiniste! Celui de la dite « Nakba ».
Un narratif, dont l’intention
programmatique d’origine arabo-islamique est de neutraliser, sinon
remplacer dans l’imaginaire collectif celui de la Shoah. Pour ce
faire, et ce fréquemment, rappelons-nous que les islamistes de tous
les pays n’hésitent pas, d’une part à fortement relativiser la
Shoah quand ils ne nient pas tout simplement son existence (et ses
causes, toutes ses causes...), d’autre part à faire tomber dans
l’oubli la guerre d’agression de l’Égypte, la Syrie, la
Transjordanie, l'Irak et le Liban contre le jeune État hébreu au
lendemain de sa proclamation.
Une guerre d’invasion qui a coûté
5800 morts israéliens, dont un quart de civils et 500 femmes, soit
près de 1% de la population juive de l'époque (Comparons, afin de
mieux saisir ce que signifie 1% d'une population. La population en
France est de 67 millions. Un pour cent est 670.000 !). Un nombre non
négligeable était constitué de rescapés des camps
d’extermination...
Mais la plaque de commémoration du
narratif palestiniste ne reste pas à mi-chemin dans la démarche de
renversement des responsabilités et de retournement des valeurs.
Tels les revanchards allemands et autres néonazis qui minimisent
qualitativement les responsabilités allemandes dans la guerre
d’agression contre l’URSS [1] pour ne mettre en exergue que les
victimes allemandes, elle accuse Ben Gourion de… « crimes de
guerre » !
Vous lisez bien. Ce n’est pas, parmi
quelques exemples, John Bagot Glubb (surnommé Glubb Pacha) ou
Mohammed Amin al-Husseini, le Grand mufti de Jérusalem, mais
Ben-gourion, l’accusé !!!
- Glubb Pacha, officier britannique qui
commanda la légion arabe contre les combattants de
l'autodétermination hébreue réunis pour la plupart dans la
Haganah, laquelle Haganah abritait sionistes et communistes. Combien
de sang de survivants de la Shoah a-t-il fait couler ? Combien de
sang d'Hébreux qui se libéraient de la servitude musulmane (la
dhimmitude) avait-il sur la conscience ?
- Le Grand mufti de Jérusalem qui
après avoir contribué à créer la Division SS MUSULMANE «
Handschar » [Cimeterre] [2] et collaboré avec ses alliés Hitler
et Himmler, cela en résidant à Berlin jusqu’à la fin du IIIème
Reich, poursuivra ses activités antisémites dirigées contre les
Juifs [3].
Tolérer cette accusation concernant
Ben Gourion, laquelle cache une intention révisionniste, est
inacceptable !
Face à une telle ignominie, le minimum
est d’exiger qu’une exclusion définitive du PCF soit prononcée
à l’encontre du maire et des autres responsables, membres de ce
parti. Ceci, quoi que l’on pense de ce parti qui a tant renié et
porte bien mal son nom.
Ce maire et ceux qui ont permis cette
infamie devront être politiquement et moralement tenus pour
co-responsables d’un futur massacre d’enfants juifs, dont une
nouvelle Myriam Monsonego [5], ou d’adultes comme ceux des
différents lieux où ont été commis des massacres anti-Juifs et
parmi eux Mireille Knoll qui, enfant, avait échappé à la
déportation vers Auschwitz, dont le sort n'est pas sans rappeler
celui de Sarah Hamburger, assassinée en 2002 en Israël [6]...
Maintenant, ravivons la mémoire
historique si gravement endommagée en France.
Paul Merker[7], résistant communiste,
membre de la direction du Kommunistische Partei Deutschlands (KPD)
puis du Sozialistische Einheitspartei Deutschland (SED), écrivait
dans un article publié en février 1948 dans Neues Deutschland
(Organe du CC du SED) : «[L]'édification d'un État juif dans une
partie de la Palestine avec ses idées progressistes et les efforts
socialistes de son mouvement ouvrier ne restera pas sans conséquences
sur la réaction féodale des rois, princes et muftis arabes. C'est
la raison pour laquelle ces tenants du pouvoir absolutiste [...]
incitent à la guerre réactionnaire contre le nouvel État juif. Une
guerre des pays arabes contre le nouvel État juif profiterait
seulement aux chefs féodaux et à certains groupes d'intérêts
impérialistes. [8]»
Paul Merker, premier en partant de la gauche au premier plan |
Le communiste Merker écrivait cela au
mois de février 48, soit avant «la guerre réactionnaire contre le
nouvel État juif» menée par cinq pays arabes le 15 mai 1948 au
lendemain de la (re)naissance d’Israël.
Dans L’Humanité du Samedi 15
mai 1948, l'envoyé spécial du journal témoignait à la Une:
« Tel-Aviv, 14 mai. J’ai assisté cet après-midi à la
proclamation solennelle d’Israël, le nouvel État juif, en lutte
pour sa vie dès le moment de sa naissance. Pendant que Ben Gourion,
premier Président du Conseil d’Israël, et d’autres dirigeants
politiques faisaient à Tel-Aviv leurs déclarations devant le
Conseil d’État provisoire de trente-sept personnes, la «Légion»
transjordanienne, contrôlée par les Anglais, attaque les village
juifs et démontre à Kvar-Izion que l’armée juive (la Haganah)
n’est pas encore prête pour faire face effectivement aux forces
mécanisées commandées par des officiers anglais… »
Et page 3 du journal :
« C’est cette situation militaire
très dangereuse qui rehausse l’initiative du peuple juif affirmant
son indépendance.
Le Parti Communiste, dans une
déclaration de son Comité Central dit aujourd’hui :
« Le mandat taché de sang est liquidé
par la lutte héroïque du peuple juif pour son indépendance et par
l’aide de l’Union Soviétique et de toutes les forces
démocratiques du monde.
Mais cette lutte pour l’indépendance
n’est pas encore terminée. Les armées anglaises restent sur le
sol d’Israël et la Légion Arabe attaque. Il nous faut mobiliser
toutes les forces du peuple juif pour la lutte en faveur de sa
liberté.»
Le journal Le Soir, de
Bruxelles, écrit de Tel-Aviv, le 15 mai 1948: « Les forces arabes
ont attaqué, par terre et par air, le nouvel État juif de Palestine
et l’ont envahi du nord au sud. Des chasseurs bombardiers de
l’armée égyptienne ont bombardé et mitraillé à plusieurs
reprises l’aérodrome de Tel-Aviv, capitale provisoire d’Israël.
Deux colonnes égyptiennes, comprenant de l’infanterie et de
l’artillerie, ont franchi la frontière méridionale de la
Palestine, et on annonce la destruction de la colonie d’Al Dangor,
que ses habitants n’ont pas voulu rendre… »
Le Journal de Paris, L'intransigeant,
rapporte de même l'invasion de la région appelée Palestine (la
Palestine juive ou État hébreu indépendant à ce moment de
l'histoire) par les... Arabes !!!
Paris Presse écrit de même :
Le message du Figaro est
substantiellement le même :
Andreï Gromyko, représentant de
l'URSS, déclare quelques jours plus tard, le 21 mai 1948 à la
réunion du Conseil de sécurité :
Andrei A. Gromyko, 18 août 1947 |
« Quant à l’État juif, son
existence est un fait dès à présent: que cela plaise ou non, cet
État existe déjà; […] Non seulement cet État existe, mais
encore il a déjà été reconnu par un certain nombre de pays. Mieux
encore, le nouvel État juif a fait une demande d'admission à
l'Organisation des Nations Unies.
[...] La délégation de l'URSS ne peut
manquer d'exprimer l'étonnement que lui cause l'attitude adoptée
par les États arabes dans la question palestinienne; nous sommes
tout particulièrement surpris de voir que ces États, ou du moins
certains d'entre eux, se sont décidés à envoyer des troupes en
Palestine et à prendre des mesures militaires dans le but d'anéantir
le mouvement de libération nationale [hébreu. M.A.] qui se
manifeste dans ce pays. [...] Selon cette déclaration, le Royaume
Uni a l'intention de donner son appui à la Transjordanie, notamment
en fournissant une aide militaire à la Légion dite arabe qui opère
actuellement en territoire palestinien, à moins que les Nations
Unies ne décident que les opérations des États arabes en Palestine
ont un caractère illégal. Il s'ensuit que le Royaume-Uni a
officiellement déclaré qu'il a prêté et prête encore son appui à
la Transjordanie, notamment sous forme d'une aide militaire accordée
à la Légion arabe, et qu'il continuera à lui prêter son appui
jusqu'à ce que les Nations Unies décident que l'action des États
arabes en Palestine est illégale.[9]»
Meir Vilner qui devint secrétaire
général du Parti communiste d'Israël, fut en mai 1948, au nom du
Parti communiste de Palestine, l'un des signataires de la déclaration
d'indépendance. Il rappelle le 1er mai 1998 que Ben Gourion
déclarait à propos de la responsabilité des Britanniques: «
Chaque goutte de sang versé dans cette guerre tombe sur les têtes
du gouvernement britannique [10]»
Sans aucun doute Ben Gourion, comme
Andreï Gromyko, pensaient-ils, entre autres, à l'officier
britannique John Bagot Glubb (surnommé Glubb Pacha) qui dirigeait la
Légion arabe...
L'historien Nathan Weinstock, après
s'être libéré de l'antisionisme qu'il avait contribué à
largement théoriser, explique: «Le «refus arabe» opposé au fait
israélien et à la légitimité même d'un État juif en Palestine
traverse l'histoire du conflit comme un fil rouge. Or cette haine
viscérale d'Israël, le sentiment insupportable d'humiliation que
cet État suscite ne s'explique pas, comme on l'affirme souvent, par
le drame des réfugiés palestiniens, elle lui est bien antérieure :
le 15 mai 1948, au moment même où les armées régulières des
États arabes franchissent le Jourdain, - et avant donc qu'il n'y eût
un seul réfugié palestinien - le secrétaire général de la Ligue
arabe, Azzam Pacha, s'exclamait déjà : «Ce sera une guerre
d'extermination et un massacre mémorable dont on se souviendra comme
des massacres mongols et des Croisades.[11]»
Florimond Bonte, dans Les Cahiers du
communisme, publié par le Comité central du Parti communiste
français, écrit en juillet 1948 : « Dès la proclamation de l’État
d'Israël, cinq États arabes, placés sous le contrôle britannique
et agissant sur les ordres du gouvernement britannique : l’Égypte,
la Syrie, la Transjordanie, l'Irak et le Liban lui déclaraient la
guerre. […] La lutte que mène le peuple juif sur le territoire de
la Palestine est liée à la lutte qui se déroule sur d'autres
points du globe. Le partisan grec, le soldat de l'armée populaire
chinoise, le combattant espagnol, les démocrates du Vietnam, les
patriotes indonésiens, les résistants hindous sont les compagnons
de lutte des soldats de la Haganna [12].»
Le communiste allemand Karl Eduard von
Schnitzler (connu plus tard en RDA pour avoir dirigé l'émission
"Der schwarze Kanal") se révoltait. Il écrivait dans Die
Weltbühne (numéro 3, 1949), paraissant en RDA: «Une guerre
impérialiste est déjà en elle-même répréhensible. Mais on doit
imaginer ce que cela signifie aujourd'hui quand des criminels contre
l'humanité, lesquels ont des centaines de milliers de Juifs sur leur
conscience, se tiennent à la tête d'une armée et de nouveau sont
autorisés à la mener contre les Juifs. [13]»
IMAGE-14 (Légende : "[O]n
doit imaginer ce que cela signifie aujourd'hui quand des criminels
contre l'humanité, lesquels ont des centaines de milliers de Juifs
sur leur conscience, se tiennent à la tête d'une armée et de
nouveau sont autorisés à la mener contre les Juifs.")
Karl Eduard von Schnitzler [14] faisait
allusion à ces nazis (comme à Mohammed Amin al-Husseini, le Grand
mufti de Jérusalem) qui après la défaite de l’Allemagne nazie
avaient rejoint les armées arabes, essentiellement musulmanes.
Si nombreux furent plus tard les
communistes qui se virent contraints d'opérer un tournant axé sur
un antisionisme primaire après le revirement de la politique
stalinienne, Paul Merker quant à lui resta fidèle à ses
convictions.
Libéré de prison, il écrivait dans
sa longue lettre adressée à la commission centrale de contrôle du
Comité Central du Sozialistische Einheitspartei Deutschlands (SED),
le 1 juin 1956:
« Je suis d'avis que ce point de vue
que je représentais également était juste, même si –
relativement à la construction d'un Etat-nation juif – il ne
correspond pas à une déclaration de Lénine d'avant la première
guerre mondiale. Mais le léninisme n'est pas un dogme et je suis
fermement convaincu que Lénine aurait été le premier, compte tenu
des crimes commis par le fascisme nazi contre les juifs, à respecter
leur sentiment de profonde solidarité entre eux et leur aspiration à
avoir leur propre pays.
[15]»
NOTES :
[1] Michel AYMERICH, Le 22 juin 1941,
les fascistes allemands déclenchent la guerre totale contre le
"judéo-bolchévisme"!
http://a-contre-air-du-temps. over-blog.com/2016/06/le-22- juin-1941-les-fascistes- allemands-declenchent-la- guerre-totale-contre-le-judeo- bolchevisme.html
[2] Division SS MUSULMANE « Handschar
» [Cimeterre], 1943-1945,
https://sitamnesty.wordpress. com/2010/04/21/division-ss- musulmane-handschar-cimeterre- 1943-1945/
[3] Un Grand Mufti, ne l'oublions pas,
qui fut loin d'être le seul à représenter la réaction musulmane
face aux Juifs. Ainsi Sheikh Hassan Salameh, pro-nazi et proche du
Grand Mufti, fut parachuté par les nazis en Palestine pendant l'été
1944. Son fils Ali Hassan Salameh est considéré comme l'instigateur
principal de la prise d'otages des Jeux olympiques de Munich en 1972
où onze athlètes israéliens ont été pris en otage et assassinés
par des terroristes membres de l'organisation arabo-palestinienne
Septembre noir. Il deviendra par la suite chef des services de
renseignement et de contre-espionnage en Jordanie ! L'un des
organisateurs de ce massacre serait Mahmoud Abbas...*
*Eliyahu Nissim, président du
Mouvement des étudiants pour Israël, a écrit en décembre 2014 au
ministre israélien de la Défense: « Depuis quelques mois, nous
avons réuni les preuves indubitables de l'implication d'Abbas dans
ce terrible massacre qui a été effectué par l'organisation
Septembre Noir, créée à l'initiative du Fatah d'Arafat, et Abbas
en a assuré le financement. En fait, l'implication d'Abbas dans cet
attentat terroriste est bien connue du public et des familles des
victimes. Voici quelques années, Ilana Romano, veuve de Yosef
Romano, un des onze qui ont été assassiné à Munich, a dit lors
d'une interview au Yediot Aharonot qu'elle détenait une cassette
dans laquelle Abbas admet son implication dans le meurtre des
athlètes. Après plusieurs années de suivi, nous savons qu'Abbas
était le « ministre des finances » du meurtre de Munich et celui
qui a amené l'argent depuis l'Arabie saoudite pour financer cette
opération. Si le ministre de la Défense a le moindre doute sur
l'implication d'Abbas dans le massacre des athlètes israéliens,
nous devons saisir la chance de la prouver et de présenter les
preuves ». «J.O. 1972 : la tragédie de Munich » de Sebastian
Dehnhardt, Uli Weidenbach et Manfred Oldenburg »,
http://www.veroniquechemla. info/2012/09/black-september- true-stor
[4] Tilman TARACH, Der ewige
Sündenbock, Freiburg-Zürich, 2010, S. 103.
[5] Michel AYMERICH, Il y a quatre ans
la petite Myriam Monsonego était assassinée par Mohammed Merah...,
http://a-contre-air-du-temps. over-blog.com/2016/03/il-y-a- quatre-ans-la-petite-myriam- monsonego-etait-assassinee- par-merah.html
[6] Sarah Hamburger, née Haimanson,
israélienne de septième génération, était née à Jérusalem et
avait grandi à Hébron. Là, à l'âge de 5 ans, elle et sa famille
avaient survécu aux émeutes arabes de 1929. Elles avaient été
sauvées par un voisin arabe. Sarah Hamburger avait ensuite vécu à
Jérusalem. Elle était la veuve de Rabbi Pinhas Hamburger, l'un des
fondateurs de la ville moderne de Jérusalem. Le 22 janvier 2002 -
Sarah Hamburger, 79 ans, est l'une des deux femmes tuées par un
terroriste musulman, dit « palestinien », qui a ouvert le feu avec
un fusil d'assaut M-16 près d'un arrêt de bus au centre-ville de
Jérusalem.
[7] Paul Merker, résistant communiste
allemand contre le fascisme fut dès 1927 membre du CC et du bureau
politique du KPD (Kommunistische Partei Deutschlands), puis il
appartiendra de avril 1946 jusqu'à 1950 à la direction du SED
(Sozialistische Einheitspartei Deutschlands), le parti au pouvoir en
RDA (République démocratique allemande). Il sera condamné à 8 ans
de prison en 1950 (mais libéré et réhabilité une année plus
tard!) pour avoir, notamment, représenté des «tendances sionistes»
(«zionistische Tendenzen»).
[8] Michel AYMERICH, Marx et les
bolcheviks face à l'Islam !
http://a-contre-air-du-temps. over-blog.com/2017/09/marx-et- les-bolcheviks-face-a-l-islam. html
[9] Andreï GROMYKO, Discours à
l'Assemblée du Conseil de sécurité, 21 mai 1948, pp 6/7,
http://repository.un.org/ bitstream/handle/11176/87887/ S_PV.299-EN.pdf?sequence=2& isAllowed=y
[10] 50 Jahre Israel, UZ-Gespräch mit
Meir Vilner,
[11] Nathan WEINSTOCK, HISTOIRES DE
CHIENS... dans le monde arabo-musulman le sous-homme, le « chien »,
c'est d'abord le Juif in Michel AYMERICH, HISTOIRES DE CHIENS,
http://a-contre-air-du-temps. over-blog.com/2016/06/ histoires-de-chiens.html
[12] Florimond BONTE, Sur le territoire
de la Palestine, carrefour stratégique du monde in Cahiers du
communisme, juillet 1948, p. 720.
[13] Karl Eduard VON SCHITZLER, „Und
wieder: „Die Juden sind schuld...“ Weltbühne 3/1949, S. 86 in
Tilman TARACH, Der ewige Sündenbock, Freiburg-Zürich, 2010, S. 106,
107.
[14] J'ai rencontré passagèrement
Karl Eduard von Schnitzler lors d'un échange téléphonique organisé
avec Erich Honecker (alors réfugié au Chili), en présence d'un
petit groupe de personnes. Cet échange téléphonique souligne la
proximité des deux hommes et laisse supposer une parenté de vues
relatives à la "question juive" et au rôle néfaste de
ceux qui voulaient et veulent anéantir les perspectives d'existence
d'Israël sur le long terme...
[15] Michel AYMERICH, Marx et les
bolcheviks face à l'Islam ! Ibid.
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