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1948. LES JUIFS EN GRAND DANGER DANS TOUS LES PAYS MUSULMANS !




Par Michel AYMERICH

70 ans après la naissance de l’État hébreu, la propagande antisioniste bat son plein sous la forme de l’adoption du narratif appelé aujourd’hui «palestinien». D’inspiration islamique, d’origine principalement arabo-musulmane, adopté par tous les pays islamisés (les arabisés, tout comme également les Turcs, les Pakistanais, les Iraniens chiites, etc. ), il est relayé en France directement ou indirectement, franchement ou hypocritement.

L’État français est partie prenante. Il contribue hypocritement à relayer des parties substantielles de ce narratif...

Un État français qui n’est autre essentiellement que l’organe défendant les intérêts de la très grande bourgeoisie à l’intérieur et à l’extérieur des frontières. Un État qui par le moyen de la diplomatie représentée par le Quai d’Orsay - une institution de défense des intérêts à l’étranger de la fraction la plus influente de cette même classe - assure un climat politique favorable aux grands groupes qui concluent des contrats juteux avec des pays de l’Organisation de la coopération islamique (OCI).
Un État français géré par des professionnels de la politique membres de partis de gouvernement de droite ou dits de « gauche ».

A la droite ou à la « gauche » de ces partis, des forces qui s’opposent peu ou prou à leur politique sur différentes questions. De gestion, pour l’essentiel.

Sur le plan des questions internationale, il en est une qui rassemble en une union sacrée différents partis et groupes politiques. C'est celle de l'adhésion à de grandes parties du narratif islamique. Celui que je retiens ici se rapporte au discours idéologique palestiniste, adopté et relayé sous sa forme directe ou indirecte, franche ou hypocrite.

Parmi les forces de « gauche » qui adoptent et relayent, et je ne m’en tiendrais qu’à cet exemple, de prétendus communistes. En fait très prosaïquement, des membres du PCF qui n’ont de communiste que l’étiquette. Comme l’habit ne fait pas le moine, l’étiquette en politique ne définit pas nécessairement ce qu’elle nomme. Sauf pour les cyniques et les crétins.

Ainsi à Bezons, Dominique Lesparre, maire étiqueté «communiste», a inauguré une plaque commémorative d’un narratif palestiniste! Celui de la dite « Nakba ». 


Un narratif, dont l’intention programmatique d’origine arabo-islamique est de neutraliser, sinon remplacer dans l’imaginaire collectif celui de la Shoah. Pour ce faire, et ce fréquemment, rappelons-nous que les islamistes de tous les pays n’hésitent pas, d’une part à fortement relativiser la Shoah quand ils ne nient pas tout simplement son existence (et ses causes, toutes ses causes...), d’autre part à faire tomber dans l’oubli la guerre d’agression de l’Égypte, la Syrie, la Transjordanie, l'Irak et le Liban contre le jeune État hébreu au lendemain de sa proclamation. 


Une guerre d’invasion qui a coûté 5800 morts israéliens, dont un quart de civils et 500 femmes, soit près de 1% de la population juive de l'époque (Comparons, afin de mieux saisir ce que signifie 1% d'une population. La population en France est de 67 millions. Un pour cent est 670.000 !). Un nombre non négligeable était constitué de rescapés des camps d’extermination...

Mais la plaque de commémoration du narratif palestiniste ne reste pas à mi-chemin dans la démarche de renversement des responsabilités et de retournement des valeurs. Tels les revanchards allemands et autres néonazis qui minimisent qualitativement les responsabilités allemandes dans la guerre d’agression contre l’URSS [1] pour ne mettre en exergue que les victimes allemandes, elle accuse Ben Gourion de… « crimes de guerre » !

Vous lisez bien. Ce n’est pas, parmi quelques exemples, John Bagot Glubb (surnommé Glubb Pacha) ou Mohammed Amin al-Husseini, le Grand mufti de Jérusalem, mais Ben-gourion, l’accusé !!!
- Glubb Pacha, officier britannique qui commanda la légion arabe contre les combattants de l'autodétermination hébreue réunis pour la plupart dans la Haganah, laquelle Haganah abritait sionistes et communistes. Combien de sang de survivants de la Shoah a-t-il fait couler ? Combien de sang d'Hébreux qui se libéraient de la servitude musulmane (la dhimmitude) avait-il sur la conscience ?
- Le Grand mufti de Jérusalem qui après avoir contribué à créer la Division SS MUSULMANE « Handschar » [Cimeterre] [2] et collaboré avec ses alliés Hitler et Himmler, cela en résidant à Berlin jusqu’à la fin du IIIème Reich, poursuivra ses activités antisémites dirigées contre les Juifs [3].




Tolérer cette accusation concernant Ben Gourion, laquelle cache une intention révisionniste, est inacceptable !

Face à une telle ignominie, le minimum est d’exiger qu’une exclusion définitive du PCF soit prononcée à l’encontre du maire et des autres responsables, membres de ce parti. Ceci, quoi que l’on pense de ce parti qui a tant renié et porte bien mal son nom.

Ce maire et ceux qui ont permis cette infamie devront être politiquement et moralement tenus pour co-responsables d’un futur massacre d’enfants juifs, dont une nouvelle Myriam Monsonego [5], ou d’adultes comme ceux des différents lieux où ont été commis des massacres anti-Juifs et parmi eux Mireille Knoll qui, enfant, avait échappé à la déportation vers Auschwitz, dont le sort n'est pas sans rappeler celui de Sarah Hamburger, assassinée en 2002 en Israël [6]...

Maintenant, ravivons la mémoire historique si gravement endommagée en France.


Paul Merker[7], résistant communiste, membre de la direction du Kommunistische Partei Deutschlands (KPD) puis du Sozialistische Einheitspartei Deutschland (SED), écrivait dans un article publié en février 1948 dans Neues Deutschland (Organe du CC du SED) : «[L]'édification d'un État juif dans une partie de la Palestine avec ses idées progressistes et les efforts socialistes de son mouvement ouvrier ne restera pas sans conséquences sur la réaction féodale des rois, princes et muftis arabes. C'est la raison pour laquelle ces tenants du pouvoir absolutiste [...] incitent à la guerre réactionnaire contre le nouvel État juif. Une guerre des pays arabes contre le nouvel État juif profiterait seulement aux chefs féodaux et à certains groupes d'intérêts impérialistes. [8]»

Paul Merker, premier en partant de la gauche au premier plan

Le communiste Merker écrivait cela au mois de février 48, soit avant «la guerre réactionnaire contre le nouvel État juif» menée par cinq pays arabes le 15 mai 1948 au lendemain de la (re)naissance d’Israël.

Dans L’Humanité du Samedi 15 mai 1948, l'envoyé spécial du journal témoignait à la Une:

« Tel-Aviv, 14 mai. J’ai assisté cet après-midi à la proclamation solennelle d’Israël, le nouvel État juif, en lutte pour sa vie dès le moment de sa naissance. Pendant que Ben Gourion, premier Président du Conseil d’Israël, et d’autres dirigeants politiques faisaient à Tel-Aviv leurs déclarations devant le Conseil d’État provisoire de trente-sept personnes, la «Légion» transjordanienne, contrôlée par les Anglais, attaque les village juifs et démontre à Kvar-Izion que l’armée juive (la Haganah) n’est pas encore prête pour faire face effectivement aux forces mécanisées commandées par des officiers anglais… »

Et page 3 du journal :
« C’est cette situation militaire très dangereuse qui rehausse l’initiative du peuple juif affirmant son indépendance.

Le Parti Communiste, dans une déclaration de son Comité Central dit aujourd’hui :
« Le mandat taché de sang est liquidé par la lutte héroïque du peuple juif pour son indépendance et par l’aide de l’Union Soviétique et de toutes les forces démocratiques du monde.
Mais cette lutte pour l’indépendance n’est pas encore terminée. Les armées anglaises restent sur le sol d’Israël et la Légion Arabe attaque. Il nous faut mobiliser toutes les forces du peuple juif pour la lutte en faveur de sa liberté.»

Le journal Le Soir, de Bruxelles, écrit de Tel-Aviv, le 15 mai 1948: « Les forces arabes ont attaqué, par terre et par air, le nouvel État juif de Palestine et l’ont envahi du nord au sud. Des chasseurs bombardiers de l’armée égyptienne ont bombardé et mitraillé à plusieurs reprises l’aérodrome de Tel-Aviv, capitale provisoire d’Israël. Deux colonnes égyptiennes, comprenant de l’infanterie et de l’artillerie, ont franchi la frontière méridionale de la Palestine, et on annonce la destruction de la colonie d’Al Dangor, que ses habitants n’ont pas voulu rendre… »

Le Journal de Paris, L'intransigeant, rapporte de même l'invasion de la région appelée Palestine (la Palestine juive ou État hébreu indépendant à ce moment de l'histoire) par les... Arabes !!!

Paris Presse écrit de même :
Le message du Figaro est substantiellement le même :

Andreï Gromyko, représentant de l'URSS, déclare quelques jours plus tard, le 21 mai 1948 à la réunion du Conseil de sécurité :
Andrei A. Gromyko, 18 août 1947

« Quant à l’État juif, son existence est un fait dès à présent: que cela plaise ou non, cet État existe déjà; […] Non seulement cet État existe, mais encore il a déjà été reconnu par un certain nombre de pays. Mieux encore, le nouvel État juif a fait une demande d'admission à l'Organisation des Nations Unies.

[...] La délégation de l'URSS ne peut manquer d'exprimer l'étonnement que lui cause l'attitude adoptée par les États arabes dans la question palestinienne; nous sommes tout particulièrement surpris de voir que ces États, ou du moins certains d'entre eux, se sont décidés à envoyer des troupes en Palestine et à prendre des mesures militaires dans le but d'anéantir le mouvement de libération nationale [hébreu. M.A.] qui se manifeste dans ce pays. [...] Selon cette déclaration, le Royaume Uni a l'intention de donner son appui à la Transjordanie, notamment en fournissant une aide militaire à la Légion dite arabe qui opère actuellement en territoire palestinien, à moins que les Nations Unies ne décident que les opérations des États arabes en Palestine ont un caractère illégal. Il s'ensuit que le Royaume-Uni a officiellement déclaré qu'il a prêté et prête encore son appui à la Transjordanie, notamment sous forme d'une aide militaire accordée à la Légion arabe, et qu'il continuera à lui prêter son appui jusqu'à ce que les Nations Unies décident que l'action des États arabes en Palestine est illégale.[9]»

Meir Vilner qui devint secrétaire général du Parti communiste d'Israël, fut en mai 1948, au nom du Parti communiste de Palestine, l'un des signataires de la déclaration d'indépendance. Il rappelle le 1er mai 1998 que Ben Gourion déclarait à propos de la responsabilité des Britanniques: « Chaque goutte de sang versé dans cette guerre tombe sur les têtes du gouvernement britannique [10]»
Sans aucun doute Ben Gourion, comme Andreï Gromyko, pensaient-ils, entre autres, à l'officier britannique John Bagot Glubb (surnommé Glubb Pacha) qui dirigeait la Légion arabe...
L'historien Nathan Weinstock, après s'être libéré de l'antisionisme qu'il avait contribué à largement théoriser, explique: «Le «refus arabe» opposé au fait israélien et à la légitimité même d'un État juif en Palestine traverse l'histoire du conflit comme un fil rouge. Or cette haine viscérale d'Israël, le sentiment insupportable d'humiliation que cet État suscite ne s'explique pas, comme on l'affirme souvent, par le drame des réfugiés palestiniens, elle lui est bien antérieure : le 15 mai 1948, au moment même où les armées régulières des États arabes franchissent le Jourdain, - et avant donc qu'il n'y eût un seul réfugié palestinien - le secrétaire général de la Ligue arabe, Azzam Pacha, s'exclamait déjà : «Ce sera une guerre d'extermination et un massacre mémorable dont on se souviendra comme des massacres mongols et des Croisades.[11]»

Florimond Bonte, dans Les Cahiers du communisme, publié par le Comité central du Parti communiste français, écrit en juillet 1948 : « Dès la proclamation de l’État d'Israël, cinq États arabes, placés sous le contrôle britannique et agissant sur les ordres du gouvernement britannique : l’Égypte, la Syrie, la Transjordanie, l'Irak et le Liban lui déclaraient la guerre. […] La lutte que mène le peuple juif sur le territoire de la Palestine est liée à la lutte qui se déroule sur d'autres points du globe. Le partisan grec, le soldat de l'armée populaire chinoise, le combattant espagnol, les démocrates du Vietnam, les patriotes indonésiens, les résistants hindous sont les compagnons de lutte des soldats de la Haganna [12].»


Le communiste allemand Karl Eduard von Schnitzler (connu plus tard en RDA pour avoir dirigé l'émission "Der schwarze Kanal") se révoltait. Il écrivait dans Die Weltbühne (numéro 3, 1949), paraissant en RDA: «Une guerre impérialiste est déjà en elle-même répréhensible. Mais on doit imaginer ce que cela signifie aujourd'hui quand des criminels contre l'humanité, lesquels ont des centaines de milliers de Juifs sur leur conscience, se tiennent à la tête d'une armée et de nouveau sont autorisés à la mener contre les Juifs. [13]» 

IMAGE-14 (Légende : "[O]n doit imaginer ce que cela signifie aujourd'hui quand des criminels contre l'humanité, lesquels ont des centaines de milliers de Juifs sur leur conscience, se tiennent à la tête d'une armée et de nouveau sont autorisés à la mener contre les Juifs.")

Karl Eduard von Schnitzler [14] faisait allusion à ces nazis (comme à Mohammed Amin al-Husseini, le Grand mufti de Jérusalem) qui après la défaite de l’Allemagne nazie avaient rejoint les armées arabes, essentiellement musulmanes.

Si nombreux furent plus tard les communistes qui se virent contraints d'opérer un tournant axé sur un antisionisme primaire après le revirement de la politique stalinienne, Paul Merker quant à lui resta fidèle à ses convictions.


Libéré de prison, il écrivait dans sa longue lettre adressée à la commission centrale de contrôle du Comité Central du Sozialistische Einheitspartei Deutschlands (SED), le 1 juin 1956:
« Je suis d'avis que ce point de vue que je représentais également était juste, même si – relativement à la construction d'un Etat-nation juif – il ne correspond pas à une déclaration de Lénine d'avant la première guerre mondiale. Mais le léninisme n'est pas un dogme et je suis fermement convaincu que Lénine aurait été le premier, compte tenu des crimes commis par le fascisme nazi contre les juifs, à respecter leur sentiment de profonde solidarité entre eux et leur aspiration à avoir leur propre pays.

[15]»
NOTES :

[1] Michel AYMERICH, Le 22 juin 1941, les fascistes allemands déclenchent la guerre totale contre le "judéo-bolchévisme"! http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2016/06/le-22-juin-1941-les-fascistes-allemands-declenchent-la-guerre-totale-contre-le-judeo-bolchevisme.html
[2] Division SS MUSULMANE « Handschar » [Cimeterre], 1943-1945, https://sitamnesty.wordpress.com/2010/04/21/division-ss-musulmane-handschar-cimeterre-1943-1945/
[3] Un Grand Mufti, ne l'oublions pas, qui fut loin d'être le seul à représenter la réaction musulmane face aux Juifs. Ainsi Sheikh Hassan Salameh, pro-nazi et proche du Grand Mufti, fut parachuté par les nazis en Palestine pendant l'été 1944. Son fils Ali Hassan Salameh est considéré comme l'instigateur principal de la prise d'otages des Jeux olympiques de Munich en 1972 où onze athlètes israéliens ont été pris en otage et assassinés par des terroristes membres de l'organisation arabo-palestinienne Septembre noir. Il deviendra par la suite chef des services de renseignement et de contre-espionnage en Jordanie ! L'un des organisateurs de ce massacre serait Mahmoud Abbas...*
*Eliyahu Nissim, président du Mouvement des étudiants pour Israël, a écrit en décembre 2014 au ministre israélien de la Défense: « Depuis quelques mois, nous avons réuni les preuves indubitables de l'implication d'Abbas dans ce terrible massacre qui a été effectué par l'organisation Septembre Noir, créée à l'initiative du Fatah d'Arafat, et Abbas en a assuré le financement. En fait, l'implication d'Abbas dans cet attentat terroriste est bien connue du public et des familles des victimes. Voici quelques années, Ilana Romano, veuve de Yosef Romano, un des onze qui ont été assassiné à Munich, a dit lors d'une interview au Yediot Aharonot qu'elle détenait une cassette dans laquelle Abbas admet son implication dans le meurtre des athlètes. Après plusieurs années de suivi, nous savons qu'Abbas était le « ministre des finances » du meurtre de Munich et celui qui a amené l'argent depuis l'Arabie saoudite pour financer cette opération. Si le ministre de la Défense a le moindre doute sur l'implication d'Abbas dans le massacre des athlètes israéliens, nous devons saisir la chance de la prouver et de présenter les preuves ». «J.O. 1972 : la tragédie de Munich » de Sebastian Dehnhardt, Uli Weidenbach et Manfred Oldenburg », http://www.veroniquechemla.info/2012/09/black-september-true-stor
[4] Tilman TARACH, Der ewige Sündenbock, Freiburg-Zürich, 2010, S. 103.
[5] Michel AYMERICH, Il y a quatre ans la petite Myriam Monsonego était assassinée par Mohammed Merah..., http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2016/03/il-y-a-quatre-ans-la-petite-myriam-monsonego-etait-assassinee-par-merah.html
[6] Sarah Hamburger, née Haimanson, israélienne de septième génération, était née à Jérusalem et avait grandi à Hébron. Là, à l'âge de 5 ans, elle et sa famille avaient survécu aux émeutes arabes de 1929. Elles avaient été sauvées par un voisin arabe. Sarah Hamburger avait ensuite vécu à Jérusalem. Elle était la veuve de Rabbi Pinhas Hamburger, l'un des fondateurs de la ville moderne de Jérusalem. Le 22 janvier 2002 - Sarah Hamburger, 79 ans, est l'une des deux femmes tuées par un terroriste musulman, dit « palestinien », qui a ouvert le feu avec un fusil d'assaut M-16 près d'un arrêt de bus au centre-ville de Jérusalem.
[7] Paul Merker, résistant communiste allemand contre le fascisme fut dès 1927 membre du CC et du bureau politique du KPD (Kommunistische Partei Deutschlands), puis il appartiendra de avril 1946 jusqu'à 1950 à la direction du SED (Sozialistische Einheitspartei Deutschlands), le parti au pouvoir en RDA (République démocratique allemande). Il sera condamné à 8 ans de prison en 1950 (mais libéré et réhabilité une année plus tard!) pour avoir, notamment, représenté des «tendances sionistes» («zionistische Tendenzen»).
[8] Michel AYMERICH, Marx et les bolcheviks face à l'Islam ! http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2017/09/marx-et-les-bolcheviks-face-a-l-islam.html
[9] Andreï GROMYKO, Discours à l'Assemblée du Conseil de sécurité, 21 mai 1948, pp 6/7, http://repository.un.org/bitstream/handle/11176/87887/S_PV.299-EN.pdf?sequence=2&isAllowed=y
[10] 50 Jahre Israel, UZ-Gespräch mit Meir Vilner,
[11] Nathan WEINSTOCK, HISTOIRES DE CHIENS... dans le monde arabo-musulman le sous-homme, le « chien », c'est d'abord le Juif in Michel AYMERICH, HISTOIRES DE CHIENS, http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2016/06/histoires-de-chiens.html
[12] Florimond BONTE, Sur le territoire de la Palestine, carrefour stratégique du monde in Cahiers du communisme, juillet 1948, p. 720.
[13] Karl Eduard VON SCHITZLER, „Und wieder: „Die Juden sind schuld...“ Weltbühne 3/1949, S. 86 in Tilman TARACH, Der ewige Sündenbock, Freiburg-Zürich, 2010, S. 106, 107.
[14] J'ai rencontré passagèrement Karl Eduard von Schnitzler lors d'un échange téléphonique organisé avec Erich Honecker (alors réfugié au Chili), en présence d'un petit groupe de personnes. Cet échange téléphonique souligne la proximité des deux hommes et laisse supposer une parenté de vues relatives à la "question juive" et au rôle néfaste de ceux qui voulaient et veulent anéantir les perspectives d'existence d'Israël sur le long terme...
[15] Michel AYMERICH, Marx et les bolcheviks face à l'Islam ! Ibid.




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