Le Hamas menace de faire "couler le sang" comme jamais vendredi 8
juin, à l'occasion du Ramadan (tout lien avec l'islam est totalement
hasardeux) et de la Naksa, qui commémore la défaite des armées arabistes
en juin 67.
Naksa, Nakba, journée de la terre ou simple envie d'en découdre, les occasions ne manquent pas pour s'attaquer à Israël.
Tout en présentant ces attaques violentes comme des "manifestations", terme que la presse occidentale reprend à coeur joie sans le moindre esprit critique, le Hamas fixe en fait le calendrier des attaques. C'est lui qui décide s'il va y avoir une guerre ou pas. S'il y aura des morts ou pas.
Israël ne fait que répondre, répliquer, lancer des représailles, après coup. Alors même qu'Israël a les moyens militaires pour ce faire, il se défend pour de fausses raisons morales, de terminer le conflit, au minimum avec la bande de Gaza. Sharon a fait partir le dernier israélien de ce bout de terre en se jurant qu'ensuite Israël aurait toute la légitimité pour leur rentrer dedans s'ils avaient le culot d'attaquer alors qu'il n'y a plus un seul Israélien. Mais les choses ne sont pas passées ainsi.
Israël est toujours accusé d' "occupation", comme s'il n'avait pas quitter ce territoire, et subit toujours le calendrier des organisations terroristes, comme le Hamas et même le Fatah.
Il fut un temps où dans une guerre entre deux populations, chacune sur un territoire différent, on guerroyait jusqu'à la capitulation, au minimum, de l'un des deux.
Rien de tout cela aujourd'hui, le Hamas continue comme si de rien n'était. Pour une raison simple : lui a bien l'intention de continuer jusqu'à la capitulation d'Israël, c'est-à-dire sa destruction. Seul Israël n'en est pas capable. Jusqu'à quand continuera-t-il de subir ?
Méïr Ronen - 5.6.2018
Le Blog des Hébreux
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